Sur le site de Sophie Brassart : >>ici<<
Demain, in AMERICA BOMBON
Avec
toi je regardais
défiler
les lettres rouges dans
la
nuit la plus froide. Il
ses
Motels et ses sacs de cailloux, sa vue
sur
les canyons. Nous en voulions
pour
notre argent et déjà demain
était
beaucoup trop loin : une route
de
poussière, interminable, une soif
inextinguible
au milieu des cactus.
Un
vent glacé
passa
dans nos manteaux, cette nuit-là.
- 36 édition, collection 8pA6, N°75, 2013.
Inscription à :
Articles (Atom)
VUES ET REVUES
- VUES & REVUES (149)
LES AUTEURS
- Barrière Nicole
- Basse Jacques
- Bastide Olivier
- Bernard Cédric
- Bernard Stéphane
- Boudou Dominique
- Brassart Sophie
- Broda Kevin
- Camac Murièle
- Cazeneuve Stanislas
- Chabrières Stéphane
- Chadli Anael
- Condello Christophe
- Dagtekin Seyhmus
- Desvignes Marie-Josée
- Duboeuf Irène
- Dudouit Samuel
- Estager Jacques (dans Recours au Poème)
- Gellé Albane
- Giraud Brigitte
- Guénette Daniel
- Guivarch Cécile
- Huynh Sabine
- Lambersy Werner
- Lambertini Sonia, par S. Guzzi
- Lavoie Aupont Coutechève
- Lavoué Jean
- Le Lepvrier Corinne
- Lejard Ghislaine
- Loizeau Sophie
- Lucas Sophie G.
- Maltaverne Patrice
- Marcheteau Sébastien
- Marimbert Jean-Jacques
- Martin Hervé
- Montale Eugenio
- Nouille Martienne
- Pedini Jean-Baptiste
- Perrin Langda
- Radière Thierry
- Raoul Lou
- Reve de Leda
- Riou Guillaume
- Roche Serge Marcel
- Roquet Thierry
- Sanchez Christophe
- Siaudeau Guillaume
- Stétié Salah
- Vargas Nicolas
- Verger Romain
- Voisin Isabel
LISTES DES PAGES DU BLOG
- VUES & REVUES (149)
- Poèmes © Fabrice Farre (110)
- Poèmes (107)
- recueils (77)
- En partage (8)
- Anthologie (6)
- Inédits (5)
- Lecture (5)
- Prose (5)
- Traductions (1)
- livre pauvre (1)
-
Au présent Se taire et parler puis cesser encore, chaque fragment au cours de la continuité convoque à son insu le poème de ...
-
Sophie Brassart (accès au site d'un clic sur l'image) La lame de vie s'est glissée sous l'eau, je l'ai ...
-
Le geste désappris, maintenant, fait ajuster le bas vers la terre. La joie souffle l'herbe rase, la désillusion ne descend pas davanta...