Après
les murs : routes, chemins
sentes
capillaires jusqu'au lac
dont
les rives varient selon l'humeur.
Le
visage serait-il un accident
survenu
un jour de faiblesse.
*
Je
prie pour que ton départ
soit
une alerte au bonheur.
On
ne quitte jamais la terre.
Tout
en suivant ta silhouette qui s'épuise
je
prie pour ne plus revenir à moi
et
faire alors une rencontre
de
l'étranger qui croit ne pas te reconnaître.
Deux
poèmes extraits de Toucher terre, Pré#carré éditeur,
mars 2015.