VARIABLE

 

Le ciel se pose, les cyprès grimpent encore

il se murmure un chêne-oiseau, le saule tient

la parcelle qu'il voit sous la bruine,

derrière la muraille qu'habillent des particules

de guêpes et de lierre précoces. La pagne de granite s'en détache,

consolant en abritant ceux dont nous lavons leur lit

deux fois l'an. Regrets éternels, Repose en paix et flaques

on reviendra ici même rappelé par la verticale.


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