3,2,1


Tu t'agites, minaudes, passes

sous mon aisselle, chat ou étoile

du ballet de ce lieu qui

de bien me connaître m'apprivoise.

Je respire sans me reconnaître, alors.

Tu te frottes à mon dos et tournes

autour de ma main.Toi, moi trouvons

la mécanique qui fait penser

qu'elle nous compte en ce désert,

que la fatalité nous laisse moins seuls.

À trois, le deux se console du un.



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