Rue Balthazar, je crois, au premier
quart de la journée, les vitrines glissent
pendant la marche, engourdies d'un jour
possible. Quelque pacotille en vente y trône.
Au second quart, dans les bas quartiers de la ville,
un colosse sans âge pratique le tatouage,
j'en porterai un : l'inquiétude peut-être
de l'impasse.