DOUZE

 

L'avion qui transporte au-dessus de la chape

gronde davantage tout comme les miens :

ils reposent là où j'ai quitté leur demeure,

me parlent un langage que seul je connais.

J'abandonne dans le bruit ce qu'ils ont gardé.

L'avion transporte, brutal vous déporte.




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

VUES ET REVUES

LISTES DES PAGES DU BLOG

POÉSIE CONTEMPORAINE... peut-être

TOUS LES TEXTES SONT PROTÉGÉS [page WIKIPEDIA]. Ils sont la propriété exclusive de Fabrice Farre.







ARCHIVES DU BLOGUE