à Jean-Pierre Lemaire
Je pense qu'ils portent le corps enveloppé
au premier abord lourd par fragilité puis
dérisoire tant il élève les porteurs
C'est là l'image chez les peintres renaissants
J'y reconnais non pas les anges qu'on ne voit
que peints mais les couleurs lavées par les larmes
Poème paru dans La Revue Alsacienne de Littérature "passages" (deuxième semestre 2024, n°142). Un grand merci à l'association Les Amis de la Revue Alsacienne de Littérature.