KØBENHAVN


C’étaient, au port, tes bras

repliés et tes mains sur la nuque.

On ne voyait que tes coudes que

tu articulais comme le Bec-en-sabot

de Copenhague.

C’était ton amitié libre ; dans les bureaux,

sur la mer calme, on négociait cent fois. 


VUES ET REVUES

LISTES DES PAGES DU BLOG

POÉSIE CONTEMPORAINE... peut-être

TOUS LES TEXTES SONT PROTÉGÉS [page WIKIPEDIA]. Ils sont la propriété exclusive de Fabrice Farre.







ARCHIVES DU BLOGUE