Bois


Nous rentrions vite
pour l’écouter frôler les cordes
avec ses mains magiques
et le bois de la guitare tout aussi grave.
Nous ne pouvions vivre davantage
dans nos petits corps pris dans la rosace du bois
de la maison, au bas de la rue de l’enfance.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

VUES ET REVUES

LISTES DES PAGES DU BLOG

POÉSIE CONTEMPORAINE... peut-être

TOUS LES TEXTES SONT PROTÉGÉS [page WIKIPEDIA]. Ils sont la propriété exclusive de Fabrice Farre.







ARCHIVES DU BLOGUE