Le
chemin parcouru jusqu'à elle
semble
mériter l'arbre sec.
Sa
bouche retroussée et édentée
nous
laisse entrevoir une partie
de
nos vies sombre. Combien
de
mots nous séparent d'elle, lorsqu'elle s'exprime
dans
un patois terreux dont la poussière
nous
aveugle. Nous rions pour souffler
ce
que nous voulons laisser au noir.
A
l'index - espace d'écrits - n°27, p.102 (2014).
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