A
l'intérieur le cœur bat,
dehors
est une lande apprivoisée.
Dans
le bocage qui te regarde,
dans
le petit silence où je te vois
pulse
la veine de ton cou et ta peau
est
un rempart, une haie assez haute
pour
m'éloigner et t'apercevoir enfin
dans
l'enclos, sans présence humaine.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire