Revue Osiris, n° 87



Le silence s’étire svelte, sauvage
à travers les buis au ras du sol, gronde
et s’élève comme une masse invisible.
L’espace se dilate en ce rien minuscule
d’où l’on apprend la lenteur
au cœur de la disparition.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

VUES ET REVUES

LISTES DES PAGES DU BLOG

POÉSIE CONTEMPORAINE... peut-être

TOUS LES TEXTES SONT PROTÉGÉS [page WIKIPEDIA]. Ils sont la propriété exclusive de Fabrice Farre.







ARCHIVES DU BLOGUE