Le train n'explique pas les distances,
il les parcourt. Non loin des rails
tu peins les visages du jour
avec ceux des voyageurs. Entre les murs
jaunes gagnés par un soleil de tabac doré
tu imagines quels sont les wagons de
demain - Ceux d'aujourd'hui,
ceux de demain, dis-je. - Alors,
tu as pris le train de la vie
ou le dernier wagon.
Beau poème!
RépondreSupprimerJe vous remercie.
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