Épargne ma poussière à ton retour,
dès que tu auras abandonné ton absence, l'aguerri
délaisse sa peau, goûte à la source solaire et se recompose
poussière, poussière, tout retourne à elle, moins poussière
si l'on s'agite. À mes oiseaux impatients n'être ni miette
ni recours ne sert. À ta matérialité on se heurte ; alors plus vif
voilà au moins un chant peu perdu sans déconvenue
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire