Les trembles à peine noirs au jour naissant
montent la garde depuis toujours.
On ne dit jamais toujours, on le répète pourtant,
entre les lèvres, sans savoir pourquoi ni comment,
comme sont nées les samares à la question du matin.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
VUES ET REVUES
- VUES & REVUES (153)
LES AUTEURS
- Barrière Nicole
- Basse Jacques
- Bastide Olivier
- Bernard Cédric
- Bernard Stéphane
- Boudou Dominique
- Brassart Sophie
- Broda Kevin
- Camac Murièle
- Cazeneuve Stanislas
- Chabrières Stéphane
- Chadli Anael
- Condello Christophe
- Dagtekin Seyhmus
- Desvignes Marie-Josée
- Duboeuf Irène
- Gellé Albane
- Giraud Brigitte
- Guénette Daniel
- Guivarch Cécile
- Huynh Sabine
- Lambersy Werner
- Lambertini Sonia, par S. Guzzi
- Lavoie Aupont Coutechève
- Lavoué Jean
- Le Lepvrier Corinne
- Lejard Ghislaine
- Loizeau Sophie
- Maltaverne Patrice
- Marcheteau Sébastien
- Marimbert Jean-Jacques
- Martin Hervé
- Montale Eugenio
- Nègre Adèle
- Nouille Martienne
- Pedini Jean-Baptiste
- Perrin Langda
- Radière Thierry
- Reve de Leda
- Riou Guillaume
- Roche Serge Marcel
- Roquet Thierry
- Sanchez Christophe
- Siaudeau Guillaume
- Stétié Salah
- Vargas Nicolas
- Verger Romain
- Voisin Isabel
LISTES DES PAGES DU BLOG
- VUES & REVUES (153)
- Poèmes © Fabrice Farre (134)
- Poèmes (112)
- recueils (82)
- En partage (9)
- Anthologie (6)
- Prose (6)
- Inédits (5)
- Lecture (5)
- Traductions (1)
- livre pauvre (1)
-
Le fuseau de ta main tresse l'air, revient accidentellement au bord de la tasse. L'après-midi fleurit sur la porcelaine, l'été e...
-
Les nuages se séparent des toits mais ne rejoignent pas les hauteurs. Le paradis singe la terre d'ici. Les habitants rentrent en allum... -
La vie, je l'ai apprise en te voyant descendre du haut de cet escalier résonnant comme la pierre qui garde à l'esprit l'...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire