18 mai
Les vitres sont bien celles qui nous
séparent
du monde. De ce côté
tu
meurs. De l'autre, serai-je assez vivant
pour
parvenir à accepter une telle dérive des êtres
l'absence
aux rives du détroit
que
ne relie aucun bateau même imaginé.
Extrait de Les chants sans voix, Encres vives, 2012.
Extrait de Les chants sans voix, Encres vives, 2012.
Poème
repris sur lesmotsplusgrandsquenous et le blog Art et tique et pique – mots et gammes.
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