Elle gagne, en passant sous l'arbre, la fraîcheur de l'été
et les taches d'ombres font des feuilles sur son vêtement
qui bouge. Puis elle s'enfonce dans la terre
lorsqu'elle descend les marches jusqu'au couloir
éclairé au fond par une étoile de verre soutenue
par un lustre. On l'attend, là, au Cloître Saint-Paul,
celle que Vincent libéra, pleine d'une tendresse
qui s'évade puis revient prisonnière à chaque fois.
Elle ne quittait pas les murs bordés par le pin parasol
incliné et les quelques cyprès à la robe droite.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire