Tu me parles :
c’est le bruit
de tes talons sur
le carrelage. A
chaque
rainure du sol que
je
fixe par le carré
de l’habitude
je dialogue avec
la nervure du
dessin
issu d’une usine
lointaine,
respire avec le
fabriquant
haletant et reste
de faïence jusqu’à
ce que cède le
carreau cuit
quand tu claques
la porte et
que je te suis des
yeux à travers les murs.
c'est très beau
RépondreSupprimerOh, merci Mu.
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