Les pommes sur ton foulard
l’impression de revenir de ne voir
cet ocre qu’à l’occasion d’un été chaud
les voix dans les feuilles diffuses les pas
jusqu’à soi ; l’automne est dans l’été
et le foulard pendu à ton cou
se pend sur le fil à linge dont je me sers
comme ligne de conduite au-dessus du vide
des HLM plus hautes aujourd’hui qu’hier
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